Wednesday, May 26, 2010

Histoires du Corps Diplomatique 10

Bonjour à tous !

Comme vous avez probablement déjà réalisé, cette entrée de mon blog va parler d’un sujet francophone. Ben, vous avez bien sur raison. Aujourd’hui, j’aimerais bien raconter une histoire de mon cher ami Hamza, jeune ambassadeur du Maroc telegenique, et moi, qui s’est déroulé à Singapour.

Hamza et moi, nous avons partagé une chambre au début de la semaine au centre du congre. Nous sommes tout le deux arrivés au même jour, je crois que c’était un Samedi. Et comme le décalage de temps est presque pareil entre Singapour et Maroc/Autriche, nous étions vachement fatigues. Au début, c’était pas un grand problème, car nous nous sommes bavardés des trucs véritablement importants (le foot). Nous avons aussi écouté de la musique (« Aicha, Aicha, écoutez-moi » ).

Pourtant, après une heure, c’est devenu un peu ennuyeux. Alors, Hamza et moi, nous avons décidé de faire une petite promenade dans les jardins. Alors, nous nous sommes levés, ont mis nos chaussures et sont allés dehors. Le temps faisait très beau et chaud, même la nuit, et c’était donc très agréable de bouger un peu. Après quelque temps, nous voulons essayer de nouveau de dormir un peu et nous avons donc décidé de rentrer dans la chambre. Alors, nous sommes rentrés à notre bâtiment, nous avons monté les escaliers et j’étais en train d’ouvrir la porte quand j’ai réalisé – la clé ne marche pas ! J’ai essayé une deuxième fois – rien ! M**** !!! Il faisait trois heures le matin, nous étions crevés et la porte restait fermer.

Donc, nous sommes descendu (le centre est sur une colline, alors, il nous fallait descendre et monter pas mal de fois) pour informer la gardienne de nuit de notre misère. Malheureusement, elle ne savait pas non plus quoi faire, mais étant gentille comme tout le monde à Singapour, elle nous a accompagnés à notre chambre pour se renseigner de la situation.

A notre porte, j’ai dit à Madame : « Voici, j’utilise ma clé, mais la porte ne bouge….CLACK » (Le CLACK signifie le son d’une porte s’ouvrant). Sans changer quelquechose, notre porte avait tout à coup décidé de s’ouvrir et nous laisser entrer. Vous pouvez bien imaginer que la vigilante n’était pas aussi heureuse que Hamza et moi.

Alors, c’est l’aventure que Hamza et moi ont passé pendant notre première nuit à Singapour. Bien entendu, des histoires comme celle-ci soude les ambassadeurs ensemble à jamais ;).

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